FÉLIX EN VHS, premier seul en scène de et par LOUIS ARTHUR traite de pop culture, d’amour au travers du regard et du parcours décalé d’un adolescent homosexuel vivant en province dans les années 80/90.
Ce spectacle tendre et décomplexé parlant de La Boum (1 et 2), de George Michael, du minitel et de variateurs de lumières entre désormais dans une phase de mise en scène...
LOUIS ARTHUR travaillera ce projet durant toute la saison 2018/2019 avec l’accompagnement de l’École Régionale des Arts de l’Humour, en résidence au Théâtre de l’Etoile de Mouvaux (Lille). Un format court de 15 minutes, différent du spectacle sera présenté ces prochains mois lors de Festivals, Scènes ouvertes, premières parties d’artistes ou show cases privés.
➢➢ Toute l’actualité de LOUIS ARTHUR et ses prochaines dates figurent sur la page FaceBook de l’artiste en ligne ici…
FELIX EN VHS De et par LOUIS ARTHUR
Prochains passages (format court et 1ères parties)
louisarthur.felix@gmail.com 06 26 95 17 84
|
Le SYNOPSIS…
Classe : 3ème7
Prénom : Louis Arthur
J’aime : la Boum, le minitel, et la musique de Phil Collins
J’aime pas : Magalie Berthin, l’injustice et les dauphins
Et surtout, j’aime Felix Maréchal ! Plus tard, c’est décidé, je me marierai avec lui. Mais en attendant, je suis coincé dans un pavillon en province, avec mes parents auto-proclamés militants socialistes, tout ça parce qu’ils ont acheté le 45 tours de Renaud, celui qui parle de l’Ethiopie. D’ailleurs, depuis qu’ils m’ont interdit l’accès au Minitel, j’ai comme un doute.
Je pense plutôt être le fils caché de Victoire Beretton et de Woody Allen… Et puis de toute façon, puni ou pas, je m’en fous, j’irai à la Boum de Maxime Duroy…
NOTE DE L'AUTEUR…
Ouvert par un conte sur livre-disque de notre enfance, ce récit nous invite à nous replonger dans nos souvenirs d’adolescence pour nous interroger sur les bases qui ont servi à construire notre vie amoureuse.
Si le texte dépeint avec tendresse et autodérision la quête identitaire d’un adolescent homosexuel, il ressort un caractère universel lié à ce que nous avons tous vécu lors de notre adolescence. Il s’exprime toutefois une volonté de témoigner sur les difficultés rencontrées par les homosexuels en province dans les années 80 et de se rappeler au bon souvenir d’une communauté qui tourne parfois le dos à ses « origines.
Le texte est évidemment très référencé aux années 80-90, à leur environnement culturel, technologique, mais ne s’enferme surtout pas dans la nostalgie du "c’était mieux avant". L’univers s’inscrit dans la tradition du "storytelling", un peu éloigné du stand-up classique, où le rire ne prédomine pas, et peut laisser parfois place à l’émotion.
Ne pas oublier, en parler, s’en amuser.
Confronter notre vie d’avant, à notre vie d’aujourd’hui.
Se dire qu’on est peut être toujours cet(te) adolescent(e), un peu gauche, mais en plus connecté.
Tout ça pour se demander si finalement, le plus grand fantasme d’aujourd’hui serait-il encore et toujours le romantisme ?
LES INFLUENCES DE LOUIS ARTHUR…
Camille Chamoux, Kyan Khojandi, Nora Hamzawi, Woody Allen mais aussi Judd Apatow, Amy Schumer, pour le storytelling et l’affection toute particulière pour les personnages de tendres losers.