collage © Clodelle | Du 1° février au 30 mars 201à, la « Recherche photos » s‘adresse aux habitants de la ville d’Orléans et aux associations, ateliers qui regroupent des personnes autour de la photographie (cours, ateliers en centres culturels, établissements scolaires ou universitaires, maisons de retraite…). Un seul thème, vos photos autour du chat à Orléans: « la recherche de tout ce qui pour vous, vous permet d’évoquer, d’imaginer et de nous faire croire que le chat est passé par là », Chat échappé d’une pièce de théâtre et vagabond dans la ville d’Orléans ; Chat fictif, mais chat à traquer, pister, inventer ; à photographier jusque dans les traces de son passage, les empreintes de ses pas ou de son visage... |
A QUI S'ADRESSE CE PROJET? A ceux qui aiment faire des photos mais ne savent pas nécessairement à qui les montrer. A ceux qui aiment qu’on les aide à franchir le pas de l’indécision en leur proposant un cadre de création. A ceux qui animent des ateliers artistiques et aiment les ouvrir à de nouveaux échanges. A ceux qui se servent de telles propositions pour insuffler une nouvelle dynamique à leurs groupes. A tous ceux à qui cette proposition donne envie! | |
| Les photos envoyées par les habitants puis rassemblées par le service culturel de l’Université d’Orléans seront le support d’un travail de vidéo et d’installation plastique. Une installation plastique sera présentée au public dans le hall du théâtre d’Orléans pendant quinze jours. Elle sera conçue par Béatrice Bodio, plasticienne, scénographe de la pièce de théâtre et membre du collectif ICI mode d’emploi La vidéo réalisée sera projetée pendant la représentation théâtrale de la pièce « Chacun cherche son chat », adaptée du film de Cédric Klapish avec son autorisation, par le metteur en scène Yaël Uzan-Holveck et les étudiants étrangers et français de l’atelier « Théâtre et langues» de l’université d’Orléans. Cette proposition de participation à une réalisation artistique, hébergée par le C.D.N, relayée par l’université d’Orléans, devient ainsi l’occasion de venir au théâtre d’Orléans comme on entre un peu chez soi. |